Verne Jules

Verne Jules – Trop de fleurs !

Verne Jules – Trop de fleurs ! «Seigneur, protégez-moi de mes amis: mes ennemis je m’en charge», citait ma grand-mère. Or c’est un ami, ou du moins l’adjoint au maire d’Amiens, municipalité socialiste où siège Jules Verne, qui l’aborde en pleine rue, un jour de décembre, pour solliciter de sa part un discours lors de l’assemblée générale de la Société d’Horticulture de Picardie de février. Un pas en arrière… puis deux autres… Mais Jules Verne, sans qu’une excuse polie lui vienne à l’esprit, n’a d’autre choix que d’accepter. C’est qu’il se déclare ignare en botanique, l’écrivain des Aventures extraordinaires, et considère que «Parler de fleurs, quand de les regarder devrait suffire, à quoi bon?» De cet embarrassant défi naîtra «Trop de fleurs!», un titre repris de Calchas dans La Belle Hélène, où Jules Verne surfera avec brio et humour sur la vague de son ignorance.

Verne Jules – Vingt mille lieues sous les mers

Verne Jules – Vingt mille lieues sous les mers - Ebooks Libres et GratuitsVerne Jules – Vingt mille lieues sous les mers : Ce roman, parmi les plus célèbres et des plus traduits de notre littérature, apparaît sans conteste comme une des œuvres les plus puissantes, les plus originales et les plus représentatives de Jules Verne. Tout commence en 1866: la peur règne sur les océans. Plusieurs navires prétendent avoir rencontré un monstre effrayant. Et quand certains rentrent gravement avariés après avoir heurté la créature, la rumeur devient certitude. L’Abraham Lincoln, frégate américaine, se met en chasse pour débarrasser les mers de ce terrible danger. Elle emporte notamment le professeur Aronnax, fameux ichthyologue du Muséum de Paris, son domestique, le dévoué Conseil, et le Canadien Ned Land, «roi des harponneurs». Après six mois de recherches infructueuses, le 5 novembre 1867, on repère ce que l’on croit être un «narwal gigantesque». Mais sa vitesse rend le monstre insaisissable et lorsqu’enfin on réussit à l’approcher pour le harponner, il aborde violemment le vaisseau et le laisse désemparé. Aronnax, Conseil et Ned Land trouvent refuge sur le dos du narwal. Ils s’aperçoivent alors qu’il s’agit d’un navire sous-marin…

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Verne Jules – L’Île à Hélice (2ème partie)

L'Île à Hélice (2ème partie) - Jules Verne - Bibliothèque numérique romandeVerne Jules – L’Île à Hélice (2ème partie) : Que de péripéties pour Standard-Island, l’île artificielle des milliardaires américains qui poursuit son périple dans l’océan pacifique ! Abordages, hostilité des Anglais, animaux sauvages, pirates, et… deux clans qui se disputent le pouvoir : l’île à hélice subira les conséquences de leur entêtement…

Aventures, rebondissements, humour, toujours un vrai Jules Verne, à lire absolument. Et la juxtaposition de « summum » de la technologie du 19e siècle et de la vie dans les îles ne tourne pas toujours à l’avantage des « civilisés » et leurs luttes de pouvoir.

C’est vrai ! les descriptions des îles par Jules Verne, avec les bons et méchants sauvages, les missionnaires, civilisateurs quand ils sont français, beigne dans le racisme du temps des colonies et est à replacer dans le contexte de l’époque.

C’est alors que Jules Verne observait, avec Jean Macé, un bateau-mouche depuis le Pont des Arts, que ce dernier eut l’idée d’une île artificielle capable de se déplacer. L’Île à Hélice paraît d’abord, en feuilleton, dans le Magazine d’Éducation et de Récréation du 1er janvier au 15 décembre 1895 puis est publiée directement après, le 21 décembre, par Hetzel.

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Verne Jules – L’Île à Hélice (première partie)

L'Île à Hélice (1ère partie) - Jules Verne - Bibliothèque numérique romandeVerne Jules – L’Île à Hélice (première partie) (édition illustrée) : Que de « contretemps » pour ce quatuor de virtuoses parisiens perdus entre San Francisco et San Juan ! Un accident de train, puis leur voiture de louage renversée : les voici à pied… Un inconnu, fort aimable, les recueille et les amène dans une ville du voisinage. Mais ne faut-il pas craindre les « donneurs de cadeaux » ? Comment échoueront-ils, contre leur gré, sur l’Île à Hélice, cette Standard-Island construite par des milliardaires américains, qui les entraînera à la découverte des îles du Pacifique ?
Un voyage et une aventure, un vrai Jules Verne, à lire absolument. Et une œuvre d’anticipation passionnante : s’il n’existe pas encore d’île artificielle pouvant se déplacer, bien qu’il y ait des supertankers, Jules Verne imagine toute une série d’inventions et d’idées pour son île, tant sociales que technologiques, dont plusieurs existent aujourd’hui.
Alors oui ! bien que Jules Verne s’amuse de la déconvenue de ses héros qui trouvent, au lieu des sauvages anthropophages qu’ils attendaient, des indigènes habillés à l’occidentale, c’est encore, à la fin du 19e siècle, le temps des colonies. Le regard posé sur les habitants des îles, souvent positif mais néanmoins empreint du racisme ordinaire d’alors, est à replacer dans son contexte.
C’est en observant, avec Jean Macé, un bateau-mouche depuis le Pont des Arts, que ce dernier eut l’idée d’une île artificielle capable de se déplacer. L’Île à Hélice paraît d’abord, en feuilleton, dans le Magazine d’Éducation et de Récréation du 1er janvier au 15 décembre 1895 puis est publiée directement après, le 21 décembre, par Hetzel.
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