Töpffer Rodolphe – La bibliothèque de mon oncle : Un jeune homme s’éprend d’une jeune fille qui meurt. Un de ses premiers écrits de « romancier » qui date de 1822,« un charmant opuscule » commente Sainte-Beuve. Cette nouvelle a été reprise par Töpffer et fait la partie médiane de l’Histoire de Jules.
Édition de la Bibliothèque électronique du Québec (que nous remercions).
Töpffer Rodolphe – Nouvelles genevoises : Leur parution, en 1841, fit la réputation littéraire de Töpffer. Si les nouvelles genevoises sont au nombre de douze, vous retrouverez dans cette édition de la Bibliothèque électronique du Québec (nous la remercions d’avoir autorisé cette reprise) : L’Héritage : un jeune homme riche s’ennuie et perd sa vie en futilités, jusqu’à sa participation à un sauvetage dans un incendie et la rencontre d’une jeune fille… Le Col D’Anterne, Le Lac de Gers, La Vallée de Trient, La Traversée, Le Grand Saint-Bernard : dans ces nouvelles, écrit Sainte-Beuve, « j’aime la vérité simple, la grâce rustique et naturelle, la belle humeur et la moquerie sans ironie. D’ordinaire, il y intervient un touriste ridicule, un Anglais gourmé, un Français entreprenant, une jeune fille charmante… ». La peur : Un jeune garçon de huit ans est confronté à la mort. Le presbytère, « le véritable chef-d’œuvre de M. Töpffer », selon Sainte-Beuve : les amours contrariées de Charles, le protégé du pasteur et de Louise, la fille du chantre. (Cette édition ne reprend que le premier livre de l’histoire qui amène cependant à une première conclusion du récit. La BNR éditera ultérieurement la version complète du Presbytère).
Töpffer Rodolphe – Nouveaux voyages en zigzag, Voyage autour du Mont-Blanc (4e partie) : Dans cette nouvelle série de voyages en zigzag – les derniers avant son décès – Rodolphe Töpffer narre avec son humour coutumier et son sens aigu de l’observation, ses voyages à pied avec les élèves de son école.
Dans la 4e partie de ce Voyage autour du Mont-Blanc, la petite troupe des marcheurs visite, à l’occasion de son tour du Mont-Blanc, les sources du Rhône puis passe, par le Grimsel, vers l’Oberland avant de revenir à Genève par le plateau suisse. C’est aussi l’occasion, pour Töpffer, de nous livrer ses considérations, humoristiques ou plus graves, sur les sujets que lui évoquent les rencontres du petit groupe, les événements et les personnages de cette excursion qui, il le sait, sera sa dernière.
Töpffer Rodolphe – Nouveaux voyages en zigzag, Voyage autour du Mont-Blanc (3e partie) : Dans cette nouvelle série de voyages en zigzag – les derniers avant son décès – Rodolphe Töpffer narre avec son humour coutumier et son sens aigu de l’observation, ses voyages à pied avec les élèves de son école.
Dans la troisième partie de ce Voyage autour du Mont-Blanc, la petite troupe des marcheurs poursuit son tour du Mont-Blanc de Sierre à Viège puis dans la vallée de Zermatt jusqu’aux environs du Cervin.
C’est aussi l’occasion, pour Töpffer, de nous livrer ses considérations sur la démarche artistique confrontée aux paysages alpins et son admiration du Cervin. Puis il nous décrit une représentation théâtrale en plein alpage. Mais son humour n’est pas en reste, telle cette série de maximes hilarantes sur les chaussures et les marcheurs : « Pour le voyageur à pied la chaussure est tout, le chapeau, la blouse, la gloire, la vertu ne viennent qu’après. »
Töpffer Rodolphe – Nouveaux voyages en zigzag Voyage autour du Mont-Blanc (2e partie) : Dans cette nouvelle série de voyages en zigzag – les derniers avant son décès -, Rodolphe Töpffer narre avec son humour coutumier et son sens aigu de l’observation, ses voyages à pied avec les élèves de son école.
Dans la 2ème partie de ce Voyage autour du Mont-Blanc, la petite troupe des marcheurs poursuit le tour du Mont-Blanc en reliant Courmayeur en France à Martigny en Suisse, via le Val Ferret et le Grand-Saint-Bernard. Puis ils partent de Sion dans la vallée du Rhône à la découverte des vallées latérales (val d’Hérens, val d’Anniviers).
Paysages alpins – et les pyramides d’Euseigne ! – déjeuners dans des alpages ou dans des auberges rustiques, traversées de pâturages ou passages rocheux, mulets têtus, et rencontres cocasses avec d’autres « touristes » font tout le charme de ce récit.
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Töpffer Rodolphe – Nouveaux voyages en zigzag, 1843 (1e partie) : Dans cette nouvelle série de voyages en zigzag– les derniers avant son décès – Rodolphe Töpffer narre avec son humour coutumier et son sens aigu de l’observation, ses voyages à pied avec les élèves de son école.
Dans cette première partie du Voyage autour du Mont Blanc, Töpffer nous emmène, en six journées, de Villeneuve en Suisse à Courmayeur en France, en passant par Aigle, Lavey, Martigny, le col de la Forclaz, le col de Balme, Chamonix, St-Gervais, col du Bonhomme et le col de la Seigne. Paysages alpestres, déjeuners dans des alpages ou dans des auberges plus ou moins accueillantes, montées épuisantes et descentes abruptes, taureaux menaçants et rencontres pittoresques d’autres « touristes » dont Töpffer nous livre des descriptions désopilantes.
Töpffer Rodolphe – Nouveaux voyages en zigzag, Voyage à la Grande Chartreuse : Dans cette nouvelle série de voyages en zigzag parue après son décès, Rodolphe Töpffer narre avec un humour confirmé ses voyages à pied avec les élèves de son école. L’édition que nous reprenons ici commence par une préface où Sainte-Beuve développe le thème de l’écrivain Töpffer considéré comme paysagiste.
Le premier de ces Nouveaux voyages en zigzag a pour but le monastère de la Grande Chartreuse et nous emmène à travers la Savoie – à l’époque séparée de la France – ses villages et ses villes, ses auberges plus ou moins heureuses, ses formalités douanières, et le lac du Bourget… Cette deuxième partie nous amène à la Grande Chartreuse puis à Grenoble.
Töpffer Rodolphe – Nouveaux voyages en zigzag, Voyage à la Grande Chartreuse : Dans cette nouvelle série de voyages en zigzag parue après son décès, Rodolphe Töpffer narre avec un humour confirmé ses voyages à pied avec les élèves de son école. L’édition que nous reprenons ici commence par une préface où Sainte-Beuve développe le thème de l’écrivain Töpffer considéré comme paysagiste.
Le premier de ces Nouveaux voyages en zigzag a pour but le monastère de la Grande Chartreuse et nous emmène à travers la Savoie – à l’époque séparée de la France – ses villages et ses villes, ses auberges plus ou moins heureuses, ses formalités douanières, et le lac du Bourget… Cette première partie reprend la préface de Sainte-Beuve ainsi que les 3 premières journées de voyage.
Töpffer Rodolphe – Les Grimpions : Le grimpion, un petit oiseau, est, au figuré en Suisse romande, « un animal à deux pieds et sans plume […] qui s’efforce par tous les moyens […] à s’élever […] au dessus de la position où le Ciel l’avait fait naître » (John Petit-Senn, 1835). M. Dervais, ancien horloger qui a réussi, aimerait bien que sa fille épouse Charles Bertrand qui vient d’être nommé « auditeur » (assistant et futur homme de loi) . Mais il est affublé d’un beau-frère épicier et…
Destinées à être jouées par les pensionnaires de l’institution qu’il dirigeait avec son épouse, ces petites pièces théâtrales sans prétention sont pleines d’humour töpfférien.
Töpffer Rodolphe – Voyages en zigzag de juin 1826 et 1827 : Dans ce 2ème voyage en zigzag, Rodolphe Töpffer et ses écoliers vont à Chamonix puis, par le glacier du Trient, à Martigny en Valais. De là, ils rejoignent par la plaine du Rhône, le Léman et Genève. Paysages alpestres, déjeuners dans les alpages mais aussi montées épuisantes, taureaux menaçants, descentes abruptes, cailloux pointus sont au rendez-vous.
Dans le 4ème voyage en zigzag, les mêmes ou presque font le tour du lac d’Évian à Monthey puis Bex et le pays de Vaud. Ils y rencontrent des compatriotes parfois trop bien intentionnés, des paysans et des bergers, des soldats à l’ivresse expansive, des chiens plus ou moins méchants, mais la caravane passe…