Sand George

Sand George – André

Sand George - André - Bibliothèque numérique romande - Havang(nl) clocher de la chapelle en ruines de Cluis-dessousSand George – André : Que faire lorsqu’on est chétif et de constitution fragile alors que son père, le marquis de Morand est un propriétaire terrien qui travaille dur, aime la chasse et les activités physique ? André, devenu son souffre-douleur, s’évade du quotidien en se promenant seul pour jouir de la nature. Il aperçoit un jour une jeune fille, belle et douce, parmi les fleurs… Ainsi commence ce conte champêtre auquel vous invite George Sand. Conte ou mélodrame ? Car Geneviève, n’est qu’une fleuriste et l’intérêt pour les fleurs de ces jeunes gens si dépareillés socialement ne peut que développer les médisances.  Le réveil se révèlera brutal et André, malgré l’aide de son ami Jacques, ne parviendra pas vraiment à être à la hauteur de ces enjeux. Écrit à Venise, au printemps 1834, au début de la relation de l’auteure avec Alfred de Musset, ce roman marque, selon Liliane Lascoux, un tournant dans l’inspiration de George Sand, inaugurant un nouveau style mi-réaliste, mi-idéaliste.

George Sand (pseudonyme d’Amantine Aurore Lucile Dupin, baronne Dudevant, 1804-1876) fut écrivaine prolifique (plus de 70 romans et 50 œuvres diverses). Elle prend la défense des femmes, prône la passion, fustige le mariage et lutte contre les préjugés d’une société conservatrice. Elle fait scandale par sa vie amoureuse agitée, sa tenue vestimentaire masculine et son pseudonyme masculin. Malgré de nombreux détracteurs (dont Charles Baudelaire) elle contribue activement à la vie intellectuelle de son époque et s’illustre par un engagement politique à partir de 1848, inspirant Alexandre Ledru-Rollin, participant au lancement de trois journaux : La Cause du peuple, Le Bulletin de la République, l’Éclaireur.

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Sand George – Le Piccinino

Sand George - Le Piccinino - Bibliothèque numérique romande - Mjobling Vista panoramica di CefalùSand George – Le Piccinino : Connaissez-vous le Piccinino ? Fils d’un fameux brigand sicilien, il cache son vrai nom sous ce diminutif et, sous les apparences d’un paisible habitant d’un petit village de montagne, il terrorise la Sicile avec une bande redoutable.

Mais, avant de le rencontrer, vous ferez la connaissance de Michel-Angelo qui a mis fin à ses études artistiques pour venir travailler avec son père, Pier-Angelo, un artisan-peintre. Il se retrouve dans une situation délicate tant ressurgit le passé de son père. Pour quelles raisons, son père a-t-il dû fuir dans sa jeunesse ? Michel parviendra-t-il à dissiper les brumes et les mystères qui l’entourent ? Et sa sœur Mila pourra-t-elle faire face aux dangers dans lesquels elle se trouve entraînée ? Enfin quel rôle joue la belle princesse Agathe qui renonce à sa vie retirée dans un palais à demi abandonné pour donner une fête fastueuse ? Ses œuvres charitables peuvent-elles expliquer ce revirement ? Les rebondissements romanesques ne vont pas manquer…

« Le Piccinino est un roman de fantaisie, écrit George Sand dans son préambule, qui n’a la prétention ni de peindre une époque historique précise, ni de décrire fidèlement un pays. C’est une étude de couleur, rêvée plutôt que sentie, et où quelques traits seulement se sont trouvés justes comme par hasard. La scène de ce roman pourrait se trouver placée partout ailleurs, sous le ciel du midi de l’Europe… ». Un histoire pleine de secrets de famille passionnante d’un bout à l’autre, agréables à lire grâce au style incomparable de George Sand, très à l’aise avec « son brigand » et la Sicile qu’elle n’avait pourtant jamais visitée.

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Sand George – Monsieur Rousset

Sand George - Monsieur Rousset - Bibliothèque numérique romande Jean-Claude Perez Village de la Côte d'OrSand George – Monsieur Rousset : « … La pendule marquait minuit… La baronne, en se retournant pour voir la cause de ma surprise, laissa échapper un cri de frayeur… »  Vous riez de ces choses ?  M. Guigne, un comédien d’un certain âge, lui, n’en rit plus. Car dans sa jeunesse, dans un château isolé niché dans une petite vallée de la Bourgogne, il a vu…

Un essai au fantastique de George Sand, une tentation comme dans l’Histoire d’un Rêveur que retrouverez dans cette courte nouvelle, une narration d’apparente simplicité que l’auteure présente comme un fragment de roman inédit.

George Sand (pseudonyme d’Amantine Aurore Lucile Dupin, baronne Dudevant, 1804-1876) fut écrivaine prolifique (plus de 70 romans et 50 œuvres diverses). Elle prend la défense des femmes, prône la passion, fustige le mariage et lutte contre les préjugés d’une société conservatrice. Elle fait scandale par sa vie amoureuse agitée, sa tenue vestimentaire masculine et son pseudonyme masculin. Malgré de nombreux détracteurs (dont Charles Baudelaire) elle contribue activement à la vie intellectuelle de son époque et s’illustre par un engagement politique à partir de 1848, inspirant Alexandre Ledru-Rollin, participant au lancement de trois journaux : La Cause du peuple, Le Bulletin de la République, l’Éclaireur.

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Sand George – La Vallée-Noire

Sand George - La Vallée-Noire - Bibliothèque numérique romande - Floppy36 - La rivière IndreSand George – La Vallée-Noire, Les Visions de la Nuit dans les Campagnes: La Vallée-Noire, comme la baptise George Sand, est la région de Nohant et de La Châtre dans le Berry. Ce pays, protégé et verdoyant, entouré de plateaux et habité par des paysans affranchis de la tutelle des nobles, bien avant la révolution, par la déshérence des domaines, est son paradis. Elle décrit la sagesse de ces petits propriétaires et leur langage à la fois précis et imagé et les compare à la paysannerie de la Brie, qui travaille dans de grandes exploitations encore féodales. La double ascendance, aristocratique et populaire, de George Sand lui fait apprécier ce pays de sa grand-mère paternelle et cette paysannerie aux mœurs simples qu’elle décrira dans plusieurs romans.

Des Visions de la Nuit dans les Campagnes, George Sand, n’en a jamais vécu. Mais ce n’est pas une raison pour les mépriser comme des superstitions imbéciles. Certes, les contes et les légendes narrés dans les Veillées, prédisposent enfants comme adultes à croire au fantastique. Meneurs de loups, secret, chasse fantastique ou chasse à baudet dans le Berry, grand’bête, battoir des lavandières dans les mares isolées de nuit, cocadrille, légende de l’Orme-Râteau, qu’énumère et décrit George Sand, peuvent avoir des causes naturelles, être des méprises causées par l’angoisse, mais elle nous rappelle que les paysans savent bien discriminer les origines des bruits et des manifestations de la nature.

Sand George – Kourroglou

Sand George - Kourroglou - Bibliothèque numérique romande - Sylvie Savary Vallée de la Mort CrèteSand George – Kourroglou : « Köroghlu, « fils de l’aveugle », est un héros célèbre de l’Asie antérieure à l’Asie centrale, dans une aire englobant l’Anatolie, le Caucase et le Turkestan. […] Artiste et brigand, combattant valeureux, pillard et redresseur de torts, Kourroglou incarne le type du bandit social, du hors-la-loi que le seigneur ou l’État poursuivent comme un criminel, mais en qui les opprimés voient un vengeur, un justicier : « le chef de brigands qui a défrayé tant de romans et de mélodrames sous l’Empire, sous la Restauration, et jusque dans la littérature romantique, a toujours amusé tout le monde, et l’intérêt principal s’est toujours attaché à ce personnage terrible et mystérieux. […] George Sand fut la première à traduire et à préfacer Köroghlu dans notre langue, […] Création populaire anonyme, Kourroglou s’inscrit dans cette grande redécouverte des folklores qui passionne l’époque romantique et qui mobilise George Sand elle-même, par exemple dans ses romans Jeanne (1844) et Les Maîtres sonneurs (1853). » (Françoise Genevray, Quoi, vous n’avez pas lu Kourroglou !, La Revue des Ressources, 29 janvier 2007).

De cette œuvre « très belle et très curieuse » George Sand nous conseille : « … j’insiste, et je dis : Lisez Kourroglou ; c’est amusant, quoique ce soit beau. »

Sand George – L’Uscoque

Sand George - L'Uscoque - Bibliothèque numérique romande - ^Sylvie Savary Château Kantara ChypreSand George – L’Uscoque : À Nohant, l’hiver de 1837 à 1838, j’avais très froid dans ma chambre, et, en m’endormant, je voyais des paysages fantastiques, des mers agitées, des rochers battus des vents. La bise qui sifflait au dehors, et le feu qui pétillait dans ma cheminée, produisaient des cris étranges, des frôlements mystérieux. De cette obsession est issu l’Uscoque un roman d’aventures, d’amours malheureuses et de pirates qui s’attaquent aux navires franchissant les chapelets d’îles de l’Adriatique entre Venise et la Grèce. Historiquement, en effet, les Uscoques étaient des pirates d’origine croate installés au XVIe siècle sur la côte est de l’Adriatique au service des Autrichiens contre les Turcs, servant en réalité aussi de façon plus complexe à attaquer l’hégémonie vénitienne sur les côtes ioniennes. (Marianne Lorenzi, L’Uscoque di George Sand: riscritture veneziane di un pirata dello ionio del XVI secolo)

George Sand met en scène Ezzelino et Orio Soranzo des princes vénitiens rivaux et amoureux de la même femme, Giovanna Morosini. Ils se retrouvent quelques années plus tard dans une forteresse perchée sur les falaises d’une île désolée dont Orio est gouverneur et où Giovanna l’a rejoint pour son malheur. Les pirates du mystérieux Uscoque rôdent pratiquement sous les yeux des navires vénitiens et se sont attaqués à la galère d’Ezzelino. La rivalité entre les deux hommes atteint son paroxysme et l’un doit mourir. Mais la victoire du méchant ne lui portera pas bonheur…. Quel rôle va jouer l’ambiguë Naam, qui accompagne Orio, son maître, sous un vêtement masculin et le seconde dans ses forfaits ? Cette figure attachante d’une amoureuse honnête et fidèle jusque dans le crime paiera-t-elle aussi de sa vie sa passion pour Orio ?

Sand George – Isidora

Sand George - Isidora - Bibliothèque numérique romande - Illustrations Thierry JohannotSand George – Isidora : George Sand a 42 ans en 1845 quand elle écrit ce roman, peu connu, mais très original par sa composition. Le thème en est l’amour ou plutôt la femme, vue sous ses deux aspects : la vertueuse et la courtisane.

Le roman commence par cette question : « L’espèce humaine est-elle composée de deux êtres différents, l’homme et la femme ? » et poursuit dans une réflexion sur les rapports entre les deux sexes, leurs droits, leurs devoirs.

Le jeune Jacques Laurent a quitté sa campagne natale pour Paris, où il passe son temps à étudier et à se poser toutes sortes de questions philosophiques sur la Femme. Pendant qu’il écrit ses théories, il regarde par la fenêtre et découvre dans le jardin voisin une femme mystérieuse : Il va tomber éperdument amoureux de cette femme, malgré toute sa complexité et sa duplicité : il admire à la fois l’ange (Julie) et il est attiré par le démon (Isidora). Abandonné par Isidora, bien des années plus tard il sera fasciné par la mère de son élève, Alice, une femme vertueuse et pure, belle-sœur d’Isidora. À la fin du roman ces deux femmes seront réunies en présence de Jacques dans le même jardin où il était tombé amoureux. Jacques est complètement désemparé, mais les deux femmes vont s’aimer, s’apprécier, se respecter.

Sand George – François le Champi

Sand George - FRançois le Champi - Ebooks libres et gratuitsSand George – François le Champi : La misère et la simplicité d’esprit de François, enfant trouvé de six ans élevé par la Zabelle, locataire du meunier Cadet Blanchet, émeuvent la jeune et douce femme de ce dernier, Madeleine. À l’insu de son mari et de sa belle-mère, elle secourt François et sa nourrice. Cadet Blanchet, qui a cessé d’aimer sa femme, laisse libre cours à son caractère emporté et avare. Trompée par son mari avec la Sévère, Madeleine trouve un réconfort dans la tendresse de Jeannie, son fils, et de François. Mais elle est victime de la haine jalouse de sa belle-mère, qui incite la Zabelle à ramener François à l’hospice…

George Sand (pseudonyme d’Amantine Aurore Lucile Dupin, baronne Dudevant, 1804-1876) fut écrivaine prolifique (plus de 70 romans et 50 œuvres diverses). Elle prend la défense des femmes, prône la passion, fustige le mariage et lutte contre les préjugés d’une société conservatrice. Elle fait scandale par sa vie amoureuse agitée, sa tenue vestimentaire masculine et son pseudonyme masculin. Malgré de nombreux détracteurs (dont Charles Baudelaire) elle contribue activement à la vie intellectuelle de son époque et s’illustre par un engagement politique à partir de 1848, inspirant Alexandre Ledru-Rollin, participant au lancement de trois journaux : La Cause du peuple, Le Bulletin de la République, l’Éclaireur. La campagne du Berry lui sert souvent de cadre.

Sand George – Indiana

Sand George - Indiana - BeQSand George – Indiana : Indiana, jeune créole issue d’une famille noble, a épousé pour son malheur un officier en retraite, âgé et brutal, le Colonel Delmare. Elle vit avec lui dans la tristesse d’un château de province. Ses seuls réconforts sont sa sœur de lait, Noun, et les visites de son cousin Ralph, jeune homme que de précoces chagrins ont rendu taciturne. Survient au château un séducteur volage, amant de Noun, Raymon de Ramière, qui, lassé de sa maîtresse, veut séduire Indiana. Découvrant cette trahison, Noun se suicide. Raymon, malgré le malheur dont il est la cause, parvient à se faire aimer d’Indiana, mais d’un amour chaste dont il se lasse vite. Ruiné, le Colonel Delmare doit s’exiler dans l’Ile Bourbon. Les amants sont séparés mais Raymon appelle à lui Indiana….

Sand George – Le Compagnon du Tour de France

Sand George - Le Compagnon du Tour de France - ELGSand George – Le Compagnon du Tour de France :  Le père Huguenin et son fils Pierre, jeune compagnon démocrate et instruit, sont chargés de restaurer les boiseries de la chapelle du manoir de Villepreux. Mais le père Huguenin et un apprenti se blessent. Pierre, parti pour Blois recruter deux ouvriers, se trouve mêlé aux luttes sanglantes du compagnonnage et aux complots de la Charbonnerie, en quête de nouveaux membres. Il rejoint enfin à Villepreux son ami nantais le Corinthien. Celui-ci, dévoilant des talents d’artiste-sculpteur, oublie la vertueuse Savinienne, mère des compagnons, avec la sensuelle marquise des Frenays…
Inspiré par le Livre du compagnonnage d’Agricol Perdiguier (1839), ce roman écrit en 1840 devait être le premier d’une série qui ne verra pas le jour. Car le Compagnon du tour de France, avec ses théories égalitaires, suscita un véritable tollé (campagne polémique de décembre 1840 à janvier 1841 – article de Marie d’Agoult dans la Presse, 9 janvier 1841).