lundi 15 février 2021 | 20e, Aventures, Littérature suisse romande et des régions voisines, Récit de voyage |
Gos Charles – Voyage de Saussure hors des Alpes : Nous connaissons l’ascension de de Saussure au Mont-Blanc et les récits de ce montagnard féru de géologie et d’observations scientifiques sur plusieurs sommets alpins. Mais, nous interroge Charles Gos, que savons-nous de ses pérégrinations « ailleurs », hors des Alpes ? Et de nous proposer un de ses voyages dans le Piémont puis, en longeant la côte méditerranéenne de Gênes à Marseille, et en remontant le Rhône, dans une version de ses « Voyages », élaguée d’une partie des observations scientifiques. (suite…)
jeudi 25 juin 2020 | 20e, Art, Essai et Chronique, Historique, Littérature suisse romande et des régions voisines, Montagne |
Gos Charles – Voyageurs illustres en Suisse : Nombreux furent les écrivains, poètes, musiciens et philosophes à visiter la Suisse aux 18e et 19e siècles, à une époque où le tourisme n’existait pas encore et que seuls les plus fortunés pouvaient voyager. Charles Gos nous invite ici à une balade par le biais de quelques-uns de ses visiteurs, évoquant des anecdotes ou des épisodes oubliés. C’est l’occasion pour connaître certains aspects méconnus de leur vie. Si Goethe passe la Furka en plein hiver sans raquettes, c’est Balzac qui introduit le ski dans la littérature. (suite…)
lundi 27 janvier 2020 | 20e, Littérature suisse romande et des régions voisines, Montagne, Roman, Sport |
Gos Charles – La Nuit des Drus : Dans cette histoire relatant un bivouac dans les Drus où la mort roda, «La Nuit des Drus nous conte simplement l’aventure d’un Anglais boiteux et d’un compagnon plus expérimenté qui se lancent dans la traversée des Drus. Le bivouac est inévitable et donne matière à un huis clos exceptionnel. Passant d’un charivari de Pigalle à des compartiments de train où se croisent des amoureux et des permissionnaires en goguette, le bivouac des Drus devient un théâtre un peu fou. L’Anglais est fagoté dans sa corde tel un Bibendum, il fume du tabac aromatisé. L’autre évoque Byron, Shelley en buvant du cognac qu’il appelle du « riquiqui » tout en chantonnant la Madelon. Le tout dans une langue impeccable, imagée: « Les fenêtres encadraient l’élancement vertical, couleur pertuisane rouillée, du Petit Dru.« » (Jean-Michel Asselin, La critique des Livres, www.masse-fr.com/) (suite…)