Dabit Eugène

Dabit Eugène – La Zone verte

Dabit Eugène – La Zone verte : À Barbès-Rochechouart, Leguen sort du métro et s’apprête à une longue marche jusqu’à Mantes. Peintre en lettre au chômage, il s’en va cueillir du muguet afin de le vendre en ville pour le premier mai tout proche. Il aboutira à Boismont, au carrefour du Mont-Rouge, grâce à Négrel, un camionneur parisien occupé dans le chantier d’un lotissement destiné à des parisiens. Car cette grande banlieue parisienne, encore « zone verte » agricole épargnée par la ville, commence à s’urbaniser. Leguen s’y sent libre, au contact d’une nature où l’horizon est dégagé. Engagé par le patron d’une auberge, il y découvre les clients : des parisiens, rentiers ou ouvriers, et les gens de la région, agriculteurs préoccupés de leur terre. Mais Leguen découvre aussi les drames et les mesquineries locales, et peu à peu s’interroge sur cette liberté dont il rêvait.

Dabit Eugène – L’Île

Dabit Eugène – L’Île : Nous sommes sur une île pauvre où le travail se fait rare. Ceux qui étaient cordonniers sont parfois obligés de devenir pêcheurs pour subsister ou de s’improviser ouvrier pour le démantèlement d’un navire. Dans ce recueil de trois nouvelles plaisant à lire, les récits de quelques tranches de vie nous montrent les solides amitiés qui peuvent se nouer entre des hommes qui partagent un dur labeur.

Dabit Eugène – Petit-Louis

Dabit Eugène – Petit-Louis : Un jeune garçon de quinze ans à Paris pendant la première guerre mondiale. Son père est mobilisé, sa mère essaie de joindre les deux bouts de leurs budget. Petit-Louis trouve un travail puis, finalement, s’engage dans l’armée. Dans les tranchées, il murit…

Dabit Eugène – Hôtel du Nord

Dabit Eugène – Hôtel du Nord : Lecouvreur et sa femme achètent l’Hôtel du Nord, situé au bord d’un canal, près de l’écluse. L’auteur brosse une galerie de portraits des gens demeurant à l’hôtel, ou de passage, vies d’ouvriers, de gens pauvres, avec leur bons et leurs mauvais moments. Puis vient l’expropriation… (ELG)