Bernhardt Sarah

Bernhardt Sarah – Ma double vie (partie 2)

Bernhardt Sarah - Ma double vie (partie 2) - Bibliothèque numérique romande - portrait de Bastien LepageBernhardt Sarah – Ma double vie (partie 2) : Après la guerre, Sarah Bernhardt reprend sa carrière. Mais toujours turbulente et critiquée, elle démissionne de la Comédie française et entame diverses tournées qui vont faire d’elle une star mondiale : l’Angleterre d’abord, puis les États-Unis et le Canada. Ces tournées seront parfois épuisantes et décourageantes, mais elle les relate avec toutes sortes d’anecdotes drôles, pleines d’autodérision et de modestie. Curieuse de tout expérimenter, elle visite des aciéries bruyantes, des abattoirs à cochons puants, se hasarde sur les glaces flottantes et découvre les chutes du Niagara malgré son vertige légendaire.

Ces Mémoires s’achèvent en 1881, le deuxième volume promis ne paraîtra jamais, et elle arpentera la scène jusqu’à la fin, même avec une jambe en moins. Elle mourra en 1923, sacrée « La Divine » par le monde entier.

Bernhardt Sarah – Ma double vie (partie 2)

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Bernhardt Sarah – Ma double vie (partie 1)

Bernhardt Sarah - Ma double vie (partie 1) - Bibliothèque nuumérique romande - portrait de Giovanni Boldonni Bernhardt Sarah – Ma double vie (partie 1) : Sociétaire turbulente de la Comédie Française, femme critiquée pour ses excentricités, aventurière évoquée jusque dans la BD pour la tournée de sa troupe à travers les États-Unis, sculpteur et peintre, Sarah Bernhardt fut bien sûr une actrice de renom. Mais c’est aussi une magnifique écrivaine, au style limpide, léger, drôle et plein de trouvailles.

Dans cette première partie de ses mémoires écrits en 1907, elle raconte avec verve et émotion sa jeunesse en Bretagne, son éducation au couvent et ses débuts de comédienne alors qu’elle n’a que 19 ans, la guerre de 1870 et la Commune. Jeune femme fragile, souvent malade, colérique, mais aussi déterminée et très volontaire, Sarah parvient peu à peu à s’imposer par sa voix « divine » et son jeu exalté. Elle croise sur sa route Victor Hugo, Théophile Gautier, George Sand et une pléiade de personnages célèbres ; elle raconte mille anecdotes cocasses sur ce monde parisien et ses représentations théâtrales, mais elle reste modeste dans le succès et très discrète sur sa vie privée.

Bernhardt Sarah – Ma double vie : mémoires, 1907

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