Agoult Marie d’

Agoult Marie d’ – Valentia, Hervé, Julien

Valentia, Hervé, Julien - Marie d'Agoult (Daniel Stern) - Bibliothèque numérique romande - Constantin Guys - The TeamAgoult Marie d’ – Valentia, Hervé, Julien (sous le pseudonyme de Daniel Stern) : Ces trois nouvelles, parues entre 1845 et 1866, illustrent les difficultés des rapports hommes-femmes de cette époque aux conventions sociales rigides. Valentia est une fiction autobiographique – Marie d’Agoult fut mariée très jeune à un homme âgé, qu’elle délaissera rapidement pour vivre un amour passionné avec un jeune amant (Franz Liszt en l’occurrence). Hervé raconte l’amour fou d’un jeune homme pour une dame du monde, en réalité une intrigante perverse et manipulatrice. Julien est un récit épistolaire entre une mère et son fils suite à une histoire d’amour malheureuse, dans lequel on retrouve tout le spleen du XIXe siècle.

Marie Flavigny, comtesse d’Agoult (1805-1876), est une femme de lettres française. Elle publiera ses écrits sous un pseudonyme masculin, Daniel Stern. Très engagée dans la création littéraire mais aussi dans la bataille politique et sociale, elle tenait un salon parisien réputé réunissant l’élite des lettres et de la musique : Vigny, Chopin, Rossini, etc.

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Agoult Marie d’ – Mémoires

Agoult Marie d’ – Mémoires - Bibliothèque numérique romandeAgoult Marie d’ – Mémoires : Après Mes Souvenirs dans lesquels Marie d’Agoult (1805-1876, elle écrivit sous le pseudonyme de Daniel Stern), née de Flavigny,  évoque son enfance et le début de sa vie conjugale avec le comte Charles d’Agoult, ces Mémoires retracent, pour l’essentiel, les cinq ans de sa liaison passionnée avec Franz Liszt. Lorsqu’elle le rencontre, elle a 27 ans, lui 21. Elle étouffe dans l’étroitesse d’un mariage avec un aristocrate dont elle ne partage ni les idées ni les valeurs. La mort de leur fille aînée éloigne encore davantage les époux. Marie sombre dans une profonde dépression. Une nouvelle rencontre en 1833 scellera leur destin : ils partent ensemble 8 jours plus tard, quittant tout pour vivre leur passion. D’abord en Suisse puis en Italie avant de revenir en France. Trois enfants naîtront de cette liaison, dont Cosima, future épouse de Richard Wagner.

[Durant les deux mois passés en Suisse], aucune lettre ne nous parvenait dans nos courses fantastiques à travers la montagne. Personne ne savait notre nom dans les maisons isolées, dans les hameaux où nous nous arrêtions de préférence. Presque partout, à nous voir si semblables par la taille, par la couleur des yeux et des cheveux, par le teint et par le son de la voix, on nous prenait pour frère et soeur ; nous en étions tout ravis.

Bien que restés inachevés à la mort de Marie d’Agoult, ces Mémoires constituent un précieux témoignage de ce destin hors du commun, celui d’une vie de femme libre, dont les idées se heurtèrent aux esprits établis. L’édition publiée ici mêle habilement les Mémoires avec des extraits des journaux intimes de Marie d’Agoult, eux-mêmes parfois commentés a posteriori par F. Liszt ! On pénètre ainsi dans l’intimité de leur vie et l’on est touché par ce récit aussi vivant que teinté parfois de nostalgie.

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Agoult Marie d’ – Mes souvenirs

Agoult Marie d’ – Mes souvenirs - Bibliothèque numérique romandeAgoult Marie d’ – Mes souvenirs : « Six pouces de neige sur vingt pieds de lave », a-t-on dit de moi, et non sans justesse, écrivait Marie de Flavigny, comtesse d’Agoult (1805-1876), surtout connue pour avoir été la compagne de Franz Liszt durant 9 ans. Pour cela, elle quitta du jour au lendemain son mari et ses filles pour vivre librement sa passion amoureuse avec le pianiste et compositeur le plus adulé de son époque. Le couple – non marié – eut trois enfants dont Cosima, la future épouse de Wagner.

Ces Souvenirs (le premier de ses écrits autobiographiques) décrivent son enfance, son adolescence et sa vie de jeune épouse et mère de famille, avec une foule d’anecdotes, de détails très vivants. Fine observatrice de la l’aristocratie et de son mode de vie finissant, elle jette un regard souvent ironique sur les mœurs de l’époque. « Il était entendu qu’une demoiselle bien élevée, lorsqu’elle entrait dans le monde, devait avoir appris avec ou sans goût, avec ou sans dispositions naturelles, la danse, le dessin, la musique, et cela dans la prévision d’un mari qui, peut-être, il est vrai, n’aimerait ni les arts ni les bals, et qui, au lendemain du mariage ferait fermer le piano, jeter là les crayons, finir les danses, mais qui, possiblement aussi, en serait amateur. »

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