Sue Eugène – Le Morne-au-Diable : Le chevalier Polyphème de Croustillac s’introduit clandestinement à bord de La Licorne, un trois mâts en partance pour la Martinique. Il compte faire fortune dans les Îles et compte sur l’hospitalité des colons autant que sur ses dons de société. C’est alors qu’il entend parler de la Barbe-Bleue une riche veuve qui a déjà enterré trois maris et vit dans sa forteresse du Morne-au-Diable. Il fait le pari de l’épouser… Pouvait-il en prévoir les conséquences ?
Avec le Morne-au-Diable, on perçoit la maîtrise de l’écriture dont Eugène Sue fera preuve dans ses œuvres majeures, comme Le Juif Errant et Les Mystères de Paris. Ce roman d’aventures, maritimes et exotiques, se lit facilement et l’on s’arrête à la dernière page surpris d’en avoir lu quatre cent cinquante d’une seule traite et sans reprendre son souffle.
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J’ai hâte de me plonger dans ces lignes.
je sais qu’il existe une distillerie au gros morne en Martinique.
Merci encore.
Connaissant un peu les Caraïbes, je ne garantis pas qu’Eugène Sue ait jamais mis les pied dans les Îles… Mais ça reste un des ses meilleurs romans maritimes.
J’ai d’abord lu Les Mystères de Paris, ouvrage qui m’a particulièrement plu et touchée. Je découvre maintenant Le Morne au Diable. Je m’aperçois que l’œuvre de Sue est immense et j’en suis encore au stade de la découverte de l’étendue de son talent. Le bonheur de lire m’attend au fil des pages… de son œuvre considérable. J’espère que vous prendrez le même plaisir que moi.