Stevenson Robert Louis – L’Île au Trésor : Qui parmi nous, enfant, n’a rêvé de découvrir un trésor enfoui dans une île déserte ? Les rêves enfantins sont peuplés de ces aventures de marins au long cours, de pirates menaçants, d’îles inquiétantes et de coffres remplis de pièces d’or.
Jim Hawkins, fils d’aubergiste sur la côte ouest de l’Angleterre du 18ème siècle n’imaginait pourtant rien de tel en accueillant dans l’auberge de son père un personnage pour le moins inquiétant : le capitaine Billy Bones. Alcoolique invétéré, grossier et redouté de tous, il squatte l’auberge et terrorise son monde tout en étant lui-même affolé par … une tache noire. Mais que vient faire dans l’auberge un marin surnommé Chien Noir ? Et un aveugle nommé Pew ? Ces visites seront funestes pour le capitaine qui, avant de mourir, confie à Jim que l’on recherche sa carte, la carte d’une île et d’un trésor. Un comité d’expédition comprenant le Docteur Livesey, le chevalier Trelawney se constitue pour tenter de retrouver l’île et le fameux trésor. Jim et sa mère fournissent la carte, trouvée dans la chambre du capitaine. Le jeune Jim est donc de l’expédition, lui qui n’a jamais voyagé ! L’équipage sera recruté par le chevalier et l’expédition embarque à Bristol. Mais, aux abords de l’île, une mutinerie secrète s’organise entre les marins… L’épilogue sera à la hauteur de nos fameux rêves enfantins. Il suffit avant de vous plonger dans cette histoire de savoir que le coffre était bien rempli et que la goélette s’en est bien retournée à Bristol !
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Merci aux Bourlapapeys de rééditer des livres classiques et populaires. Sur ma liseuse, j’ai un grand nombres de ces livres et, une fois lus, je les supprime de la table des matières. Mais quand, au hasard, resurgit un de ces classiques, je me réjouis de le réintroduire sur ma liseuse et me fais un plaisir de le relire.
Parmi ces livres, naturellement aussi Robinson Crusoé, Le roi des montagnes, Le corsaire rouge. Et là, stupeur, j’ai compris pourquoi je n’avais rien compris à ce roman que j’ai lu, enfant. De l’édition d ‘une centaine de pages, le livre dans son édition intégrale, est passé à plusieurs centaines de pages. Et je pense que c’est pareil pour beaucoup de livres destinés aux enfants. Les adultes doivent pouvoir lire les éditions intégrales. et c’est souvent beaucoup plus instructif.
Merci de votre appréciation. Nous avons choisi pour ce livre la traduction adaptée de Théo Varlet, un auteur que nous aimons bien. Et dont les livres ne sont pas vraiment « ad usum delphini ».
Et merci aussi aux ELG qui nous ont laissé reprendre, recorriger (c’est toujours nécessaire malgré tout le soin des relecteurs … il doit encore rester des coquille ici malgré notre passage) et adapter leur numérisation…