Coups de cœur

Sand George – La Confession d’une jeune fille 1

Sand George – La Confession d'une jeune fille 1 - Bibliothèque numérique romande - Anne van de Perre À la RivièreSand George – La Confession d’une jeune fille (tome 1): Lucienne a eu un destin tragique: Alors qu’elle n’est qu’une petite fille de 10 mois, confiée à sa grand-mère et à une gouvernante, elle est enlevée lors d’un déplacement en carrosse pour reparaître mystérieusement 4 ans plus tard. Elle parle une langue étrangère, ne sait rien de son passé et va devoir se construire ainsi, sans ses parents, entourée d’une grand-mère très bienveillante, une gouvernante devenue à moitié folle depuis l’enlèvement, un précepteur qui se consacre avec un grand dévouement à son éducation intellectuelle, un cousin du même âge qu’elle, et quelques voisins plus ou moins bien intentionnés. …

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Eberhardt Isabelle – Inédits et textes originaux

Eberhardt Isabelle - Inédits et textes originaux - Bibliothèque numérique romande - photo Sylvie S.Eberhardt Isabelle – Inédits et textes originaux : Pourquoi rééditer des nouvelles d’Isabelle Eberhardt publiées entre 2012-2013 par la BNR? Parce que «Inédits et textes originaux» sont des œuvres non remaniées telles qu’elles ont paru du vivant de l’auteure dans la presse de l’époque (notamment Nouvelle Revue moderne, L’Athénée, Les Nouvelles, La Revue blanche, La Dépêche algérienne et l’Akhbar). La présente édition ne se veut pas exhaustive de l’œuvre d’Isabelle Eberhardt, mais elle lui rend justice. (Re)Lire Isabelle Eberhardt, c’est voyager avec une femme en avance sur son temps et qui a osé vivre sa liberté. …

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Viollis Andrée – Criquet

Viollis Andrée - Criquet - Bibliothèque numérique romande - Laura Barr-Wells côte et nuages au coucher de soleilViollis Andrée – Criquet : Criquet c’est le surnom d’une fillette dont les parents attendaient un garçon et qui se trouva baptisée d’un prénom épicène : Camille. Criquet a toujours rêvé d’être un garçon et fait tout pour le devenir. Elle prie de tout son cœur. Elle essaie de convaincre son père qu’elle pourrait se déguiser en garçon pour aller à St-Cyr : il l’écoute distraitement. Car Criquet s’est fait son opinion : la vie des hommes est plus intéressante que celle des femmes. Elle refuse d’être une jeune fille. Elle ne se sent pas de l’être. Les vêtements et les intérêts de celles-ci ne l’intéressent pas. Elle veut faire des études et non de la couture ! Elle voit ses frères pour qui toutes les portes sont ouvertes alors que les femmes restent à la maison, doivent plaire aux hommes et avoir des enfants. Camille, elle, rêve de voyages, d’aventures et de réalisations, rêves qui rappellent d’ailleurs la vie d’Andrée Viollis. Mais Camille est alors confrontée à la puberté, aux règles… …

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Hugo Victor – Notre-Dame de Paris

Hugo Victor - Notre-Dame de Paris - Ebooks libres et gratuitsHugo Victor – Notre-Dame de Paris : En hommage à Notre-Dame de Paris (et à tous les patrimoines culturels trop souvent oubliés) et pour vous donner l’occasion de relire ce superbe roman d’un grand écrivain. Le 6 janvier 1482, jour de la fête des Fous, on donne dans la grande salle du Palais de Justice de Paris un mystère du poète Gringoire, alors que sur le parvis de Notre-Dame danse la bohémienne Esmeralda. Quasimodo, le sonneur disgracieux de la cathédrale, essaie de l’enlever sur l’ordre de l’archidiacre Claude Frollo. (Édition partenaire Ebooks libres et gratuits.) …

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Ramuz Charles Ferdinand – La Grande Peur dans la Montagne

Ramuz Charles Ferdinand - La Grande Peur dans la Montagne - Bibliothèque numérique romande - F. Chaurel Sex Rouge vu des Prèzes-d'en-basRamuz Charles Ferdinand – La Grande Peur dans la Montagne : Les pâturages du plateau qui surplombe Sasseneire sont-ils maudits ? Dans ce petit village des Alpes du Valais suisse, de la bonne herbe est ainsi laissée à l’abandon. Que s’est-il passé il y a vingt ans ? Les anciens en parlent avec effroi comme d’un grand malheur. Nul, après tout ce temps, ne sait plus ce qu’a vraiment été cette histoire de maladie de bêtes dont les détails sont perdus.

La jeunesse balaie les anciennes peurs et décide que ces pâturages doivent à nouveau être utiles aux bêtes du village. Une nouvelle expédition à l’alpage est décidée avec un petit groupe d’hommes : Le Maître, son neveu Barthélémy, seul « rescapé de la précédente expédition » et qui se croit à l’abri avec son petit papier magique, Romain , Julien, un jeune amoureux, et enfin Clou. La désapprobation des anciens n’y changera rien et leurs avertissements resteront lettre morte. La vie s’organise au chalet d’alpage planté au milieu d’un décor que C. F. Ramuz nous décrit avec talent. Avec lui, la montagne devient un personnage à part entière, elle s’anime avec sa grandeur et sa puissance qui domine les hommes. La montagne a ses secrets et ses mystères qui nous fait nous sentir bien petits et à la merci des éléments. Peu à peu la peur tisse sa toile dans le groupe. Y a-t-il vraiment une malédiction attachée à cette terre ? Les anciens avaient-ils raison ? La nature ne laissera aucun répit aux hommes présents là-haut, ni la maladie. Une lente descente aux enfers personnelle et collective. La nature est-elle plus forte que les hommes qui ne peuvent que l’écouter et rester humbles ?

Charles Ferdinand Ramuz est né en 1878 à Lausanne, en Suisse, de parents commerçants. Après des études de lettres à Lausanne, il part pour Paris, où il séjournera régulièrement jusqu’en 1914, tout en participant à la vie littéraire romande. En 1903 il publie Le petit village, un recueil de poèmes. Son premier roman, Aline (1905), est un succès. Suivront jusqu’en 1911 des romans centrés sur un personnage (dont Vie de Samuel Belet, Aimé Pache, peintre vaudoisJean-Luc persécuté).  En 1914, il revient vivre définitivement en Suisse. Il fonde les Cahiers vaudois avec Edmond Gilliard et Paul Budry. Avec La guerre dans le Haut-Pays (1915), Le règne de l’esprit malin (1917), La guérison des maladies (1917), il renonce au roman explicatif pour décrire des communautés aux prises avec les forces du mal, la guerre, la fin du monde. Il développe une nouvelle langue plus proche du langage parlé – au grand dam des puristes – abandonnant la narration linéaire et introduisant le « on » comme l’expression d’une collectivité.

Les années d’après guerre sont marquées par les difficultés financières. En 1924, Ramuz signe un contrat chez l’éditeur Grasset. C’est entre 1926 et 1937 que paraissent les grands romans tels que La grande peur dans la montagne (1925-26), La beauté sur la terre (1927), Farinet (1932), Derborence (1934), Le garçon savoyard (1936), Si le soleil ne revenait pas (1937). Le Grand Prix Schiller lui est remis en 1936. Lorsque son ami et éditeur lausannois Henry-Louis Mermod lui propose la publication de ses œuvres complètes en 1940-41, Ramuz relit et corrige tous ses textes. Il décède en 1947 à Pully près de Lausanne.

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Rousseau Jean-Jacques – Du Contrat social

Du Contrat social Jean-Jacques Rousseau Bibliothèque numérique romande Île Rousseau Genève photo Sylvie SavaryRousseau Jean-Jacques – Du Contrat social ou principes  du droit politique : Œuvre audacieuse et révolutionnaire, le Contrat Social (1762) est le prolongement de la réflexion inaugurée dans le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité (1755). Partant de la constatation que « L’homme est né libre et partout il est dans les fers », Rousseau y développe les concepts-clés de sa philosophie politique, à savoir la souveraineté populaire, la volonté générale, la liberté et l’égalité devant le droit, et démontre de façon magistrale que seul un pacte social librement consenti par tous assure à l’État sa légitimité: « Afin donc que le pacte social ne soit pas un vain formulaire, il renferme tacitement cet engagement qui seul peut donner de la force aux autres, que quiconque refusera d’obéir à la volonté générale y sera contraint par tout le corps : ce qui ne signifie autre chose sinon qu’on le forcera d’être libre; car telle est la condition qui donnant chaque citoyen à la patrie le garantit de toute dépendance personnelle; condition qui fait l’artifice et le jeu de la machine politique, et qui seule rend légitimes les engagements civils, lesquels sans cela seraient absurdes, tyranniques, et sujets aux plus énormes abus. »

Le vent de contestation qui souffle dans ces pages a contribué à faire de ce court traité l’un des textes fondateurs de la modernité politique. Rousseau y croise le fer avec les philosophes de l’Antiquité et de la Renaissance comme avec ceux de son temps; il s’arrête longuement sur l’histoire de Rome et d’Athènes, cite les cas de Venise et de bien d’autres grandes puissances; mais ce faisant, il puise aussi dans son vécu personnel des arguments qui prêtent à sa démonstration une grande force de conviction. À lire ou relire le Contrat social, on prend en effet conscience que le rayonnement de cette œuvre universelle n’est pas étranger à un certain cachet local, et que cet ouvrage majeur n’aurait peut-être pas été tout à fait ce qu’il est si son auteur ne se fût considéré, avant toute chose, comme un citoyen de Genève: « Né citoyen d’un État libre, et membre du souverain, quelque faible influence que puisse avoir ma voix dans les affaires publiques, le droit d’y voter suffit pour m’imposer le droit de m’en instruire. Heureux, toutes les fois que je médite sur les gouvernements, de trouver toujours dans mes recherches de nouvelles raisons d’aimer celui de mon pays! »

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Combe T – Enfant de Commune

Enfant de Commune - T. Combe - Bibliothèque numérique romande - Jean-Henri Baumann, Johann Jakob Sperli le Vieux, Frédéric Jeanneret La Chaux-de-Fonds vue du NordCombe T – Enfant de Commune : Quand on est «enfant de commune», un enfant placé à la charge de la commune, la vie n’est-elle pas mal commencée ? Donat en fait l’expérience : sa mère est décédée et son père emprisonné. «Misé» c’est-à-dire que les autorités communales accordent au moins «demandant», la charge de sa garde, il entre au service d’une famille de paysans de la région. Exploité, mal nourri, à la fois ouvrier non payé et garde d’un bébé, lui aussi placé, qui pleure toutes les nuits, il est si fatigué à l’école qu’il dort sur sa table. Pour s’en sortir, il devra se battre contre les idées reçues…

Mais bien entouré et conseillé, il devient un brillant étudiant, réussissant magnifiquement son brevet d’instituteur. Les retours de son père après chaque peine vont ruiner sa carrière et une terrible désillusion sentimentale lui porteront de rudes coups….

Un sujet délicat fort bien traité par T. Combe (Adèle Huguenin Vuillemin) : celui des orphelins « enfants de commune ». Un roman sociologique de T. Combe qui sait camper des personnages finement décrits, dans leurs ombres et leurs lumières, où l’on découvre la face cachée de la prise en charge des orphelins dans le Neuchâtel du début du 20e siècle et bien d’autres aspects peu connus de la société neuchâteloise de l’époque. À lire.

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Choderlos de Laclos Pierre – Les Liaisons dangereuses

Les Liaisons dangereuses - Pierre Choderlos de Laclos - Bibliothèque numérique romande - photo Sylvie Savary Musée andersen NorvègeChoderlos de Laclos Pierre – Les Liaisons dangereuses : Promis à la vie militaire en tant que cadet d’une famille récemment anoblie, l’officier d’artillerie Pierre Choderlos de Laclos végète dans des garnisons de province où il participe cependant à la vie mondaine. Déçu dans ses ambitions militaires, il décide de frapper un grand coup littéraire. « Je résolus de faire un ouvrage qui sortît de la route ordinaire, qui fît du bruit et qui retentît encore sur la terre quand j’y aurais passé … », aurait-il affirmé à l’aventurier et homme de lettres Alexandre de Tilly, qui rapporte ce propos dans ses Mémoires.

Pari gagné ! Dès leur parution en 1782, Les Liaisons dangereuses connaissent un succès retentissant, dû tout autant au parfum de scandale qui s’en dégage qu’aux qualités littéraires que nombre de contemporains leur reconnaissent. Outre les réimpressions légales qui se succèdent alors, de très nombreuses éditions pirates, publiées à Genève, Londres ou encore Amsterdam voient le jour de 1782 à 1800, faisant connaître l’œuvre dans l’Europe tout entière.

Et si les Liaisons dangereuses ont traversé plus difficilement le XIXe siècle, elles ont ensuite retrouvé la faveur du public : la bibliothèque de la Pléiade, par exemple, ne leur a consacré pas moins de quatre éditions différentes, la dernière datant de 2011. Et surtout, le cinéma s’est emparé de l’œuvre, malgré les difficultés d’adaptation d’un roman épistolaire ; de 1959 à 2012, six films se sont succédé, dont Untold Scandal (2003), qui a transposé le roman dans un contexte historique sud-coréen, et Valmont (1989) de Milos Forman dans une adaptation assez libre. Voilà qui suffit à mettre en évidence la résonance universelle des Liaisons dangereuses !

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Perrault Charles – Contes

Contes - Charles Perrault - Bibliothèque numérique romandePerrault Charles – Contes (édition illustrée) : Les contes de Perrault ont survécu depuis le 17e siècle et font, encore aujourd’hui, les délices des enfants comme des adultes. Qui n’a pas lu, vu le film ou s’est fait conter, avec émerveillement, terreur ou plaisir, le Petit Poucet, la Barbe Bleue, Peau d’Âne, Cendrillon, La Belle au Bois dormant et tous les autres? Cette édition illustrée est le résultat de deux coups de cœurs : la découverte d’un petit livre à la couverture rouge et or, doré sur tranche, des Contes des Fées illustrés de Charles Perrault. Et puis Gustave Doré… En effet, comment réaliser une édition illustrée des contes de Perrault sans ses gravures ?

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